Articles

Affichage des articles du 2014

Ma garde !

Image
Je ne t'ai pas facilité la vie ! Bien au-delà et à chaque minute Mettant fin à tes derniers espoirs, goutte à goutte Sans cesse , heurté aux quelques blessures qu'elle m'avait infligées  Dans mon regard, tout l'amour que je te portais Cependant plus en profondeur, tapis dans le coin subsistait son ombre  Il aurait été facile de te laisser mener la danse tout en grâce Mais tu aurais eu là un pouvoir bien trop grand et bien trop sombre  Les désirs qui furent tiens étaient nobles et pleins de classe seulement les miettes, de ce cœur encore capable d'amour étaient ignorantes Te l’offrir sans t'en donner les clefs, voilà qui est bien cruel ! Mais ce pouvoir de destruction sur ma personne, me revient à moi seule ! Car apparent ou non, toi seul pouvais me faire perdante ou gagnante

Car c'est ce que je suis

Image
Il y a là, en moi, des silences trop précieux pour être brisés Des choses que tu ne sauras probablement jamais Oui je veux faire de toi l'homme de ma vie Mais il te faudra aussi être le frère, l'amant, et l'ami Si tu n'en comprends pas l'importance Que tu ne voies pas comme parfois, mon cœur peut se faire lourd Alors, cet idéal que tu as de moi tournera court Si tu ressens tout cela comme une futilité Ne dis rien, Je ne me sens pas la force d'une autre déception Accorde-moi juste ton épaule, je veux m'y reposer Quelques instants de répit sans désapprobation Et si par hasard, je te raconte mes bleus Accorde-moi ton silence, je ne t'aimerai que davantage Je pourrais t'accorder bien des aveux N'effacer aucun mal ni aucun mirage En auras-tu la force ? Ne te sens pas le devoir de refermer mon écorce ... Car c'est ce que je suis !

Femme

Image
  Toi cette guerrière, dont les cris sont silence Ton agonie ne s'est jamais fait entendre Bien que sans cesse tu partages ta souffrance Et que ton cœur soit sur le point de se fendre Rien n'y change Sans cesse on exige de toi la patience et ce, sans vendange Car tu es mère, car tu es épouse, car tu es sœur En aucun cas ne se reflète en toi la Femme au grand cœur Non pas par ta faute Mais parce qu'ils sont orgueilleux S'imaginent-ils seulement leur vie sans que tu les réconfortes? Ont-ils remercié DIEU pour ces nuits où tu veillais sur eux ? Tu n'attends pas grand-chose, Juste peut être un merci Ou un peu de respect Mais ce n'est rien si tu n'as rien de tout ceci Même si ton cœur continue de saigner Car tu comprends tout
Image
TES SILENCES Je ne me pardonnerai jamais ce jour ou je t'ai vu pleuré Je me suis jurée de toujours te protéger Mais j'ai failli à cet objectif que je m’étais fixé Lorsque de tes yeux les larmes ont coulé Le cœur haletant J'ai su ... Tu es un survivant  Comme pour moi, le silence est dû Il est une barrière face au monde Ce qui permet de sourire même quand rien ne va ... Je préfère vivre seconde après seconde Et si réellement tu es comme moi, alors c'est ainsi que tu avanceras Ai-je au tort de t'élever de mes mains ? Peut-être que sans moi ,tu aurais affronté la vie mieux que ça Malgré tout je continuerai à me battre pour tes lendemains, Veillerai à ce que tu trouves cette paix que je n'ai pas eue...

RaPeLlE à L'eNfAnCe

Image
Un rappel à l'enfance  Quelques instants d'insouciance Petits moments d'innocence Sans penser aux conséquences Une balade sur les rives du souvenir Lorsqu'on ignorait ce que cachait l'avenir Nos corps dansant sous un soleil d'été qui appelle à rougir  Le rouge des coquelicots qui soulage les soupirs Des émotions sincères et vraies  " Je t'aime pour l'éternité" Les blessures vite oubliées " C'est celui qui dit qui est"  1,2, 3 C'est toi le chat  4,5, 6 ça sera toi  7,8, 9 Tu es à moi  10 L’âge adulte est déjà là

Triste époque

Je n'ai pas combattu d'adversaire plus difficile que mon âme; une fois je perds, une fois je gagne. [S. Ath-Thawri] L'humilité de ma condition de simple humain, s'est rappelée à moi Comment avais-je pu oublier ? si vite, si aisément ... Elle m'avait pourtant appris que rares seront les fois où je gagnerai mes combats Que chaque pas serait une leçon que je devrai garder précieusement L’orgueil fut ma perte, ma clef pour les enfers Je n'ai jamais eu à renoncer à aussi cher Peu à peu je disparaissais, effacée par les compromis Jusqu'au jour où rancœur et colère s’emparèrent de ma vie Aujourd'hui, mes blessures cicatrisent Mais mon monde agonise Longtemps, il m'a fallu avancer en montrant patte blanche Le monde ayant perdu de son innocence J'ai pris sur moi de renoncer à l'idée d'une quelconque revanche J'ai veillé à ne pas être une pierre de plus à cette noirceur immense J'ai vendu mes désirs les plus chers, Et mes rêves les ...

Premier amour Déçu

Image
Tel un louveteau naïf, son flair n'est pas encore aiguisé Pauvre incrédule qui n'avait jamais connue l'amour ! Il ignorait tout de ses vicissitudes, de ses vils pièges, sa capacité sournoise à déguiser le plus affreux en miel. Ses flammes froides qui donnent de nouvelles couleurs au jour. Bercer pas des airs inconnus, rien n'annonça tout ce qu'il devra sacrifier : les nuits blanches à repensé chaque minute Les "si j'avais su" "j'aurais dû" Le ventre nouait à l'idée que la vie ne soit plus jamais pareille L'idée me traverse, et si je ne t'avais pas connue ? Aurais-je perdu autant ? Est-ce parce que c'est toi ? ou bien l'amour est ainsi fait ? Les cicatrices se referment mais la douleur rappelle sans cesse Puis viendra le jour où ... " Les femmes sont toutes les mêmes! Plus jamais il n'ouvrira de porte Car son petit cœur n'est plus aussi clair Le sang qui s'y verse portera éternel...

Quel est ton choix ?

Mets ton joli jupon, mon Âme J´ai rendez-vous, j´ai rendez-vous... Rendez vous où ? Là ou rien ne nous condamne... :) Lolylolalolane "Regardez là, quel affront !" "Elle air comme un navire à l'abandon" Mon amour, me voilà pointé du doigt Est-ce aussi évident que cela ? Les murmures de la ville retentissent déjà Ne crains-tu pas que par ma faute, on ne parle plus que de toi ? Écoute-les ! Leur sentence est tombé Il semble que ta place ne soit  pas à mes côtés Un homme de ton rang n'a rien à faire avec une tel "dévergondé" Alors quel est ton choix ?  Si c'est moi ... Je me réjouirai de chaque matin passé prés de toi Je te ferai partager mon âme rebelle Te ferai tomber amoureux de mes robes en dentelles Te faire fondre sous mon regard malicieux Chaque jour aura ses éclats de rires délicieux Une vie de vagabond Sans ennui et sans abandon Madrid, Buenos-air, Milan ... Le tour du monde en dansant C'est tout ce que je...

Le mot final

Vouloir atteindre les sommets sans même effleurer les bas plateaux Gagner sans même lutter Jouer avec des forces qui en tout point, me dépassaient Précieux comme l'air et l'eau Mais aussi ordinaire que de respirer Je n'en ai pas saisi la valeur Aujourd'hui voilà qu'elle a filé Il ne sert plus à rien d'avoir peur Il paraît que chaque flocon de neige est unique Dans ce cas l'heure des ADIEU a sonné Bien des rumeurs hantent nos vies mais aucune d'elles n'est véridique Il est probable que je ne te reverrais plus jamais Il y a bien longtemps que j'ai renoncé Pendant que toi, tu t’époumonais à nous maintenir debout Qui de nous deux s'est le plus trompé ? Je fus lâche je l'avoue Sauras-tu me pardonné ? Le glas a sonné Ici s'écrivent mes derniers mots pour toi

Elles portents toute mon nom

Image
Tu es le meilleur en moi Tu es le meilleur de nous Tout ce que je n'oserai être, je l'avoue Tout ce qui ne m’effraie pas Les mauvaises langues ont trop parlé Il me faut te montrer La pudeur des sentiments règne Mais il est temps que ça cesse Pour toi, pour moi Pour tout ce que je ne saurai t'expliquer C'est mon cœur que j'ai sacrifié J'ai dû payer le prix de tout leur blabla On te dit que c'est sans moi que tu dois continuer ta route Sais-tu ce que ça me coûte au quotidien ? Respirer par toi, pour toi sans que personne ne se doute Pas même toi, ou les miens Dit moi, tu y crois ? Bien sur, ça va de soi Je me suis retourné pour cacher mes larmes Tu pensais que j’étais partis sans états d’âme Je te laisserai me haïre Juste promet moi que ça sera ainsi pour l'éternité Que nos promesses soient emportées dans les airs Que dans ton ombre je puisse m'effacer Rencontre de nouveau l'amour Jouis du bonheur qu'el...

Ma sentence ?

Image
M'en voudras-tu si je suis heureuse? Toi à qui j'ai tout pris Toi dont chaque jour le tombeau se creuse Toi dont le cœur est a l'agonie Par ma faute, assurément Pour toi je serai maudite, probablement Et seul ton pardon me mènera celui de DIEU Mais la vie m'a pris au dépourvu de bien des magnanières et sans désaveux Je pensais pouvoir disposer de la mienne Il en fut autrement, je ne peux plus être tienne   Traîtresse me dira tu Mais je jure que de tout cela, je n'ai rien voulu Au même titre que le tien , mon cœur s'est brisé Tu as eu foi de lutté Moi les armes, je les ai déposé À de simples prétextes je me suis rattaché Pour ne pas voir que j’étais trop lâche Lâche d'assumer un amour aussi grand Être celle qui fît naître en toi un feu aussi ardant Un amour qui aujourd'hui m’obsède sans relâche, Me consume sans répit Si j'acceptais d'aller de l'avant En ferais-tu autant ? Avancer de bons grès et non par dépit Dit moi si mon bonhe...
Image
Ne fait jamais de promesse lorsque tu es heureux  Emporter par la légèreté de ma plume Je sens l'air qui s'engouffre dans ma poitrine Enfin anéantis la brume J'entends les tam-tams qui tambourinent Mes pas de danse, s'accordent à ceux de la vie Je sens la promesse du bonheur effleuré mes lèvres Les caresses de l'inconnue qui se multiplient Me voilà ivre Il me semble que je pourrais oser Mettre le monde à tes pieds  Vivre de ton sourire Enfin cesser de courir  Chimer amer Tous s’éclairent Ton petit cœur s'est brisé Il semble que j'ai fauté Est-ce toi ou moi ? Qui de nous deux a lâcher prise ? Nous y voilà ! Tout s'effondre d'une simple brise Je jure avoir pensé chaque syllabe Nos promesses, nos éclats de rire semblaient inaltérables Et pourtant ... Il ne reste que ces silences déconcertants

L'amour d'une mére

Image
 La seule promesse que je peux faire sans crainte de la briser ! D'une façon ou d'une autre, je serais toujours là pour toi; pour te supporter ; te soutenir ; t'encourager; t'acclamer si ton public ne répond pas. Si tu fléchis, je serai ta canne; si l'air se fait trop lourd, je serai l'ombre qui t'abrite et si tu rêves de la lumière alors je serai ton ombre. Comme l'ange présent que personne ne p eut voir, je te protégerai contre les vents et les tempêtes; contre douleurs et fardeaux; contre haine et violence. Si malheureusement, le monde Devient trop horrible pour ton petit coeur et que tu ne peux pas le supporter alors tout ce que tu as à faire est de venir mettre ta petite tête contre mon coeur et je te promets ... oui je promets que je comprendrai sans un mot. Mon amour pour toi pourrait faire trembler les mers et les montagnes bien au-delà des métaphores Si tu me demandes "pourquoi" la réponse est dans le nom que ...

Ne me dit rien

Image
S'il est vrai que, à tes yeux aucune autre femme n'est aussi belle que moi  Ne me dit rien, je veux le voir  S'il est vrai que, à tes yeux je suis celle qui aspire tes pas  Ne me dit rien, je veux le voir  S'il est vrai que, à tes yeux je suis unique  Ne me dit rien, je veux le voir  S'il est vrai que, à tes yeux moi seul peut rendre tes jours magiques  Ne me dit rien, je veux le voir  Ne m'offre pas le monde  Je ne saurai qu'en faire  Je ne veux pas de ces promesses qui, de bonheur te comble  Elles s'effacent et s'envolent aussi aisément que l'air  Si je manquais de poésie  Je n'aurais qu'à lire Rimbaud ou bien Baudelaire  Juste un instant de répit  Fait de tes bras mon unique repère Dans tes yeux ou dans ton sourire  Je veux être présente à chaque instant  Dans tes pas ou lorsque tu respires  Je veux être celle pour qui tu vas de l'avant  Heureux ou malheur...

Petit soldat

Je n'ai pas appris la vie dans les livres.  Seuls les faits ont joué en ma faveur  Mais toujours seul ; face aux batailles que je livre C'est par moi que s'écrivent les chapitres de ma ferveur  Bien que certains aient mené à ma décadence  Un simple sourire peut sauver les apparences La vérité ne survient que dans les prières  Le coeur; lui cache toutes les peurs Le temps détruit ce qui fut bâti pierres après pierres  Tandis que la raison dit adieu à toutes candeurs  Les apparences restent de joie  Mal grès les guerres qui frappe ici et là Tel un soleil d'hiver  Tout n'est qu'un leur bien précaire  Les rues de lumières laissent croire  Bien que froid, le coeur ne veut plus choir Et si ... ? Des si par là, des si par ci Dans  ces  mains lever au ciel, on érige l'espoir Pourtant, la rancoeur entache les coeurs et refuse les aux revoirs Les armes restes charger Les p...

Malgré Moi !

Image