Femme
Toi cette guerrière, dont les cris sont silence
Ton agonie ne s'est jamais fait entendre
Bien que sans cesse tu partages ta souffrance
Et que ton cœur soit sur le point de se fendre
Rien n'y change
Sans cesse on exige de toi la patience et ce, sans vendange
Car tu es mère, car tu es épouse, car tu es sœur
En aucun cas ne se reflète en toi la Femme au grand cœur
Non pas par ta faute
Mais parce qu'ils sont orgueilleux
S'imaginent-ils seulement leur vie sans que tu les réconfortes?
Ont-ils remercié DIEU pour ces nuits où tu veillais sur eux ?
Tu n'attends pas grand-chose, Juste peut être un merci
Ou un peu de respect
Mais ce n'est rien si tu n'as rien de tout ceci
Même si ton cœur continue de saigner
Car tu comprends tout
Ton agonie ne s'est jamais fait entendre
Bien que sans cesse tu partages ta souffrance
Et que ton cœur soit sur le point de se fendre
Rien n'y change
Sans cesse on exige de toi la patience et ce, sans vendange
Car tu es mère, car tu es épouse, car tu es sœur
En aucun cas ne se reflète en toi la Femme au grand cœur
Non pas par ta faute
Mais parce qu'ils sont orgueilleux
S'imaginent-ils seulement leur vie sans que tu les réconfortes?
Ont-ils remercié DIEU pour ces nuits où tu veillais sur eux ?
Tu n'attends pas grand-chose, Juste peut être un merci
Ou un peu de respect
Mais ce n'est rien si tu n'as rien de tout ceci
Même si ton cœur continue de saigner
Car tu comprends tout
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