Ma garde !

Je ne t'ai pas facilité la vie !

Bien au-delà et à chaque minute
Mettant fin à tes derniers espoirs, goutte à goutte


Sans cesse , heurté aux quelques blessures qu'elle m'avait infligées 


Dans mon regard, tout l'amour que je te portais
Cependant plus en profondeur, tapis dans le coin subsistait son ombre 


Il aurait été facile de te laisser mener la danse tout en grâce
Mais tu aurais eu là un pouvoir bien trop grand et bien trop sombre 


Les désirs qui furent tiens étaient nobles et pleins de classe

seulement les miettes, de ce cœur encore capable d'amour étaient ignorantes

Te l’offrir sans t'en donner les clefs, voilà qui est bien cruel !
Mais ce pouvoir de destruction sur ma personne, me revient à moi seule !
Car apparent ou non, toi seul pouvais me faire perdante ou gagnante

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