Petit soldat


Je n'ai pas appris la vie dans les livres. 
Seuls les faits ont joué en ma faveur 
Mais toujours seul ; face aux batailles que je livre
C'est par moi que s'écrivent les chapitres de ma ferveur 
Bien que certains aient mené à ma décadence 
Un simple sourire peut sauver les apparences

La vérité ne survient que dans les prières 
Le coeur; lui cache toutes les peurs
Le temps détruit ce qui fut bâti pierres après pierres 
Tandis que la raison dit adieu à toutes candeurs 
Les apparences restent de joie 
Mal grès les guerres qui frappe ici et là

Tel un soleil d'hiver 
Tout n'est qu'un leur bien précaire 
Les rues de lumières laissent croire 
Bien que froid, le coeur ne veut plus choir
Et si ... ?
Des si par là, des si par ci



Dans ces mains lever au ciel, on érige l'espoir
Pourtant, la rancoeur entache les coeurs et refuse les aux revoirs
Les armes restes charger

Les poings serrés


Réflexes de défenses répondant toujours présent tel des petits soldats

L'homme fut homme, enfants déjà


Le printemps souffle l'Espoir
L'été crie victoire
L'automne chante la déchéance
L'hiver tue l'espérance
Dans un dernier souffle, elle me dit : rien de plus naturel ainsi en incombe pour toutes vies
Tout vit, tout meurt, tout ris, tous pleurs alors soldat répond oui



Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

La perte de l'autre

L'homme qui pleur

Cher inconnu