Ma plume... Ma SURVIE

Ils sont aux quatre coins du monde Leurs vies se jouent en seconde Pourtant, J'ai rencontré dans leur sourires Plus de courage que je ne pourrais le dire Ni luxure ni gourmandise Et "chacun pour soi" ne fait pas partie de leurs devise Chaque lever de soleil, Égale une victorieuse bataille Lorsque le jour s'endort Ils prient Dieu de pouvoir vivre un jour encore Finalement leurs rêves ne son pas si cher ! Les étoiles sont leurs bougies d'anniversaire, Les seuls à qu'ils confient leur veux Leur espoir ? être heureux Un désir qu'ils n'osent à peine formuler Car on leur rirait au nez Pourtant, Face a ce petit bout de 5ans Je me sens encore une Enfant Ils sont aux quatre coins du monde Leurs vies se jouent en seconde Pourtant, J'ai rencontré dans leur sourires Plus de courage que je ne pourrais le dire

En cachette il pleure, c'est un homme Il ne peut rien dévoiler, cet homme Ce n'est pas qu'une question de pudeur, c'est un homme Il se doit de les préserver, Cet homme Le contraire serait faillir à son honneur, c'est un homme Ils désirent faire le monde, ce sont des Hommes Déjà à 10ans ce sont des Hommes Ils mettent en avant leur fierté a chaque seconde, ce sont des Hommes C'est universel pour chacun petits et grands, ce sont des Hommes Il ne soupire pas cet homme Même ses rêves ne se disent pas c'est un homme Il donne l'impression que tout est facile cet homme Mais en vrai il ne cesse de lutter c'est un homme Sais-tu que derrière cette apparence de glace se cache un coeur ? Ce n'est qu'un Homme

Je n'en veux pas à la terre entière Juste à ce qui entre nous place des barrières Je t'avoue que je suis lasse de lutter Contre les ombres de ton passer Je voudrais que pour une fois Tu regardes vers moi Que tu acceptes ma main Et que tu décides enfin De bâtir ce pont entre nous et l'avenir Souvient toi que le temps n'a de cesse de Fuir Et qu'un beau jour lorsque tu regarderas autour de toi Tu réaliseras Que ta vie a filé Que tes jours sont conter Personne, pour te consoler Car a l'usure ils se seront tous lassé Tes yeux ne pourront plus pleurer Car tu les auras usés sur de vin regrets Je serai certes à tes côtés Mais probablement plus celle que tu as aimé Et au final de ta vie tu n'auras pas vécue ni futur ni passé Ton présent, lui s'en est allé

Tu voudrais que je te réponde. Que je te révèle pourquoi Toi ? Pour cela, Il te faudra m'offrir plus que quelques secondes J'ai tant à te dire Mais les heures et les minutes ne cesse de fuir Je t'invite en mon coeur Regarde plus en profondeur Sache que pour comprendre Il te faudra lire plus Qu'entendre Pour voir, Il te faudra tout savoir De ma vie et de mon passer Mais il se peut que tu te heurtes à quelque rochers Sous lesquelles je cache mes plus lourds secrets Bien voilé, Il te faudra ressentir toutes ces choses que je ne peux t'avouer J'ignore si j'ai le droit de ressentir tout cela Mais je ne peux te mentir Toi qui lit en moi comme dans un livre Sans même que j'ouvre les lèvres Es-tu sûr de vouloir savoir tout ce que tu m'inspires ? Ecoute  ! Si je devais faire simple je dirais que de toi je suis ivre ! Tant de personnes ont déclaré : "Je suis née le jour où je t'ai rencontré" ...

Ecoute  ! ! Ce silence meurtrier La pluie qui coule goutte a goutte Comme s'il ne s'était jamais rien passé Un nouveau jour se lève Alors que le coeur continuent à battre a cent à l'heure Le déluge semble offrir une trêve Regarde ! A l'horizon, le soleil éclair les rues Comme pour dire qu'il est permis de baisser la garde Ouvrez les bras à tout ce que vous avez attendue Plus besoin d'avoir peur Mais le coeur semble se méfier Difficile d'écrire une nouvelle page Les blessures n'ont pas encore cicatriser Mais qui sait ? Ouvrons la cage Laissons la blanche colombe volé !

Fais-moi disparaître que plus jamais je ne sois touché Fais-moi disparaître avant que je finisse par étouffer Fais-moi disparaître que je puisse renaitre tel un nouveau né

Il venait de renaître à la vie Il scrute le monde du regard Cherchant dans l'horizon une échappatoire Pour fuir ses déboires Laissant derrière lui déceptions et faux espoirs Il ne veut plus porter l'image du mauvais gars Promettant de faire de meilleurs choix A la vie, il ouvre enfin ses bras Même s'il doit quelquefois mener des combats Il prend ses responsabilités à bras le corps Encaissant les coups encore et encore Considérant malgré cela chaque seconde comme un trésor Chaque jour, est une leçon et chaque jour le rend plus fort Il accepte la vie comme elle vient Sans cesse répète "t'inquiète maman je vais bien ; Enfin, j'ai trouvé mon chemin ! Souvient toi que je reviens de loin. Il oublies ses veilles blessures Son sourire  est vrai et pur Un dernier baisé sur le front de sa mère et il prend sa voiture Pour sa famille le coup dur Il ne reviendra plus jamais Car sur cette route, le reflet de son p...

Je veux me nourrir d'insouciance Je veux courir dans tous les sens Tel un enfant, répandre ma joie Hurler ma foie Sauter de flac en flac Tout mettre en vrac Peut importe la colère de maman Je saurai me faire pardonner en bonne enfant Entre mes doigts se jouent un air de Mozart Destin, providence ou hasard ? Je préfère me nourrir d'un bonheur sans fin Dansant sur un air de Chopin Même si entre corps et notes l'harmonie n'y est pas Je sens ainsi le monde se construire sous mes pas Il n'existe ni peine ni douleur Car l'innocence brille en mon coeur

Du silence d'écoule des pages et des pages Rescapé de millions de drames L'histoire en guise d'héritage Comme des bleus qui persistent sur les âmes Ils ont porté les armes Versé des larmes Nos ancêtre et pères Génération d'avant guerre Je leur dois ma chance Mon avenir et mes droits Leurs combats m'ont offert le choix Je choisie en guise de point levé de noircir cette page Je vis la liberté dans l'âme Rescapés de millions de drames L'histoire en guise d'héritage Fier de ce que je suis et d'où je vient En hommage à chaque ancien

Mon Jardin secret Dans mon jardin secret ; Mon âme j'ai caché. Le voilà bien charger ; Bien qu'à mon compteur seulement 20 années Mais je t'invite à regarder de plus près Car si tu regardes bien, ce jardin t'es dédier ! Même si mon passer en domine la moitie ; Tu trouveras tout ce que je n'oserais pas t'avouer. Tu y découvriras l'amour que pour toi j'ai porté. Tu liras toutes mes cicatrices à peine cicatriser. Tu sauras alors que c'est malgré cela que j'ai avancé. Tu comprendras toute l'admiration que je t'ai vouée. Que c'est parce que je t'ai rencontré, Que mes nuits ne sont plus été tourmenter Désormais je rêve de paix ; C' est pour  cela que je t'aime comme jamais personne n'a osé !

Je voudrais te dire Ce que mon coeur renferme, Tout ce à quoi j'aspire Mais ce soir ma plume peine à trouver les termes. Pas par manque d'inspiration, mais... Mes sentiments s'en-tête à rester dans leur cage, Ils paraissent bien trop lourd pour être exprimé. Ma page, Trop blanche à mon goût Il faut que je t'avoue tout Mais ... saura-tu m'entendre ? Dois-je tout t'avouer ? Comment te faire comprendre ? Je ne suis pas douer pour parler Mais il faut que tu saches ... Non je ne peux prendre le risque S'il te plait souvient toi de cette musique, Cette chanson que nous chantions à l'unissons. Elle te parlera pour moi ; Elle t'expliquera tout jusqu'au moindre de mes frissons Et là, sans que j'use des mots, tu comprendras !

Les mots sont mon arme là où la patience est ma force ; Malgré les difficultés de mon âme, intacte est mon écorce ! Rien ne pourra me briser alors je ne cesserai d'avancer

Lorsque ton coeur s'en va en guerre, Au final que peut-il bien avoir ? Tôt ou tard il finira par se briser comme du verre Sans plus l'ombre d'un espoir. Pour un instant il luttera contre ses tourments, Puis il finira par se laisser  emporter par le courant. Au cours de sa noyade il rencontrera une vieille branche ; Il s'y accrochera du peu de force qui lui reste Jusqu'à ce que de nouveau il flanche. Il sauvera les apparences Pour être digne de votre confiance Mais la réalité... Ce que vous prenez pour de simple rides, Sont ses blessures qu'il cache de façon avide. Ce qui vous semble être des cernes, Sont les témoins de sa peine. A tous ceux dont le coeur est parti en guerre ; N'espérais pas que tous soit comme hier ! Il est probable qu'il franchira de nouveau le seille Mais pour votre bien il vous faudra en faire le deuil !

Il arrive parfois que nos erreurs fassent dégât Tout autour de nous des combat Au nom d'une terre Au nom d'un bien matériel Oubliant que nous sommes tous effet-mer Que Dieu seul est éternelle Faisant de notre vie d'ici bas un acquis Oubliant que demain peut-être tout sera détruit Je pleurs de l'ignorance de l'homme qui s'accroche Probablement en vain, à ce qu'il a en poche Qu'il estime toujours peu Quel que soit ce que la vie lui a offert Ignorant que de peu on peut être heureux J'ai pitié de l'homme avare Qui ne sait plus comment tendre la main Il considère la vie d'un air hagard N'accordant plus d'attention à la présence de son prochain Sous prétexte que son existence fut un cauchemar Il se dira "pourquoi le sortirais-je de ce pétrin ? " Oubliant que son tour viendra tôt ou tard Mes idées sont bien naïve mais... Face a la vie je voudrais ne jamais perdre de ma bonté ET EUX...

Un souvenir plein de magie ; Un instant de votre vie Ordinaire, anodin mais puissant. Gravé en votre âme, il efface tous vos tourments, Il vous habite comme une seconde peau. Le coeur celé par ce simple souvenir ; Lorsque votre esprit s'y attarde, tout devient plus beau ! Il n'est plus question de passer ou d'avenir Car le monde ne vous porte plus. Vous souhaiteriez le revivre encore et encore Ce souvenir est votre plus grand trésor ! Alors, fermez les yeux ! Sentez vos sens se mettre en éveille, Laissez les vous rendre de nouveau heureux, Le parfum unique de cette journée sans pareille ! Le ciel qui dégage une impression de royauté ! Souvenez vous ! comme le monde vous appartenez ! Seul au monde et votre bonheur à son sommet ! Vous ne contiez plus ni les minutes ni les heures. Ouvrez les yeux ! la vie ne vous fait plus peur ! Grâce à ce souvenir vous êtes désormais à la hauteur !

« Les larmes les plus amères que l'on verse sur les tombes viennent des mots que l'on n'a pas dits, des choses que l'on n'a pas faites »   Harriet Beecher Stowe Je t'ai laissé partir Sans avoir pu te dire Que à mes yeux Tu étais un être merveilleux Je t'admirais en silence Respectueuse face à autant de patience Malgré les dégâts causés par ton absence J'ai aujourd'hui retrouvé l'essentiel de mes forces Je peux désormais chanter tes louanges Et te rendre ainsi un dernier hommage En mon esprit tu demeureras éternellement Sache qu'aujourd'hui pur sont mes sentiments Je dis Adieu à la douleur et la colère Fini les rancoeurs, je me bâtis de nouveaux repères Je ne vis plus dans le dénis Je ne survis plus enfin je vis J'espère ainsi devenir ce que tu étais Un ange aux yeux de tous Et pour tous, une fierté Pour un ange comme il en existe plus, je te regrette !

Mon cher ami, Te voilà partis. Le temps fuis Et tu demeures loin d'ici. Je t'écris ces quelques mots Pour te faire entendre mes silencieux sanglots. Les moments heureux partager ; L'un après l'autre, se sont multiplié Mais un seul faut pas Et tu m'as prives de tout cela. En silence, j'hurle ma douleur. Mes pas ne sont plus qu'un leur. Je me traîne comme un prisonnier enchaîné à son boulet. De mon âme je suis désormais privée Mais malgré tout, pour le bonheur que tu m'as donné, Résilier, je te rends ta liberté !                                                                        

"Je me réfugie en ma fois pour que demain ne me tue pas et que digne soit mon trépas"                             Dans mes pensées Dans mes pas Chaque jour, je l'ai prier La lumière qui réside en moi Partout où je pose mon regard Je vois de lui une part Auteur de ma destinée Créateur de la vie et de toutes choses J'utilise ma prose Pour dire que je ne cesserai de le prier Présent dans l'espoir nourris par mon coeur Effaçant ainsi nos peines et nos peurs Présent dans les prières de chaque main lever au ciel Je suis protégé des Natures les plus cruelles Il est Dieu, miséricordieux partout autour de moi

Il le sait, Ma vie dépend de lui. Secrètement, je l'ai aimé. Aveuglement, ma vie, je lui ai confiée . Son souvenir  anime mon âme. Pour lui je voudrais devenir une Femme, Mais je vous l'avoue ; En sa présence je redeviens un simple petit boue. Je voudrais qu'il m'offre ses bras Et faire de lui l'épaule qui me soutient. Chaque jour, il guide mes pas Mais de mes sentiments il ne sait presque rien Autrefois, un visage inconnu possédait mes rêves ; Aujourd'hui il devient réel J'ignore comment cette histoire s'achève Mais même si la fin n'est pas belle, Ce souvenir sera mon plus beau trésor. Je n'en serais que plus forte encore.

                                        Je voudrais pouvoirs t'aimer sans artifices Et de mon coeur t'offrir le sacrifice Pour ce que tu es Et non pour ce que ta voiture vaut Mais hélas le monde est ainsi fait S'attardant sur nos défauts Ne tenant plus conte de l'humain Le jugeant sur ses quelques bien matériels On s'attache au superficiels Oubliant que dans l'au-delà tout cela ne vaudra plus rien Ainsi ce monde disparaît d'heure en heure RÉVEILLEZ VOUS ! ! ! TANT DE NOS VALEURS SE MEURT ! ! !